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mardi 2 août 2011

"En tus brazos" (court métrage, 2006)




Réalisation: Supifocom Arles par François Xavier Gonnet, Matthieu Landour et Edouard Jouret
Musique : Xavier Drouault

Le plus grand danseur de tango des années vingt est cloué dans un fauteuil roulant après un accident. Grâce à sa femme, il retrouve l’usage de ses jambes le temps d’une danse imaginaire…



>> www.entusbrazos.fr

samedi 2 juillet 2011

Pilobolus: A performance merging dance and biology



Two Pilobolus dancers perform "Symbiosis." Does it trace the birth of a relationship? Or the co-evolution of symbiotic species? Music: "God Music," George Crumb; "Fratres," Arvo Part; "MorangoAlmost a Tango," Thomas Oboe Lee.

Pilobolus began, in 1971, as an outsider dance company, and quickly became renowned the world over for its imaginative and athletic exploration of creative collaboration.

Video from TED.COM


>> about PILOBOLUS

dimanche 29 mai 2011

BOLERO (Béjart et le Bolchoï)

Chorégraphie: Maurice Béjart
Musique: Maurice Ravel
Décors et costumes: Maurice Béjart
Interprètes: Tania Bari (B.XXeS.), Suzanne Farrell (B.XXeS.), Louba Dobrievic (B.XXeS.), Anouchka Babkine (B.XXeS.), Angèle Albrecht (B.XXeS.), Shonach Mirk (B.XXeS.), Grazia Galante (B.XXeS.), Claude Bessy (créatrice à l’OP), Jacqueline Rayet (OP), Marie-Claude Pietragalla (OP), Sylvie Guillem (OP), Florence Clerc (OP), Nicole Chouret (OP), Josiane Consoli(OP), Sabine Salle (B. du Rhin), Chantal Chazee (B. du Rhin), Marcia Haydée (Stuttgart), Haidrun Schwarz (Berlin), Brenda Edwards (Londres), Luciana Savignano (Scala de Milan), Carla Fracci (Arène de Vérone), Maïa Plissetskaïa (Bolchoï)


«Mon Boléro», disait Ravel, «devrait porter en exergue: Enfoncez-vous bien cela dans la tête».
Plus sérieusement, il expliqua: «En 1928, sur la demande de Mme Rubinstein [Ida Rubinstein, célèbre danseuse et actrice russe], j’ai composé un boléro pour orchestre. C’est une danse d’un mouvement très modéré et constamment uniforme, tant par la mélodie que par l’harmonie et le rythme, ce dernier marqué sans cesse par le tambour. Le seul élément de diversité y est apporté par le crescendo orchestral».

Maurice Béjart précise en ces termes sa conception de l’œuvre de Ravel: «Musique trop connue et pourtant toujours nouvelle grâce à sa simplicité. Une mélodie – d’origine orientale et non espagnole – s’enroule inlassablement sur elle-même, va en augmentant de volume et d’intensité, dévorant l’espace sonore et engloutissant à la fin la mélodie».

Sans vouloir décrire davantage ce ballet évident par lui-même, remarquons que Maurice Béjart, dans un style très différent, rejoint l’esprit du Sacre du Printemps, en ce sens qu’à l’inverse de la plupart de ceux qui ont illustré chorégraphiquement le Boléro avant lui, il répudie toutes les facilités du pittoresque extérieur pour exprimer uniquement – mais avec quelle force! – l’essentiel.

Maurice Béjart confie le rôle central – la Mélodie – tantôt à une danseuse, tantôt à un danseur. Le Rythme est interprété par un groupe de danseurs.

>> http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre_Bolcho%C3%AF






Maja Plisetzkaja

jeudi 19 mai 2011

Rosas danst Rosas (Anne Teresa De Keersmaeker)









œuvre de danse contemporaine de la chorégraphe belge Anne Teresa De Keersmaeker, créée en 1983.
Rosas danst Rosas tient son nom du poème de Gertrude Stein A Rose is a rose... publié en 1922 qui est devenu symbole de la répétition dans l'avant-garde et ainsi souligne la volonté de la chorégraphe belge à mettre en avant sa recherche sur les structures répétitives dans la pièce.

lundi 17 janvier 2011

Wim Vandekeybus (Blush)



Wim Vandekeybus est né dans un environnement rural, son père étant vétérinaire[1],[2]. Il commença des études de psychologie qu'il ne finira jamais, mais gardera de cette période de sa vie le sens d'un lien entre corps et esprit.

En contact avec le metteur en scène flamand Paul Peyskens, il s'oriente alors vers une carrière artistique, et prend des cours de théâtre et de danse. En 1985, il auditionne pour Jan Fabre qui l'engage dans sa compagnie et où il sera pendant deux ans un des danseurs nus du spectacle The Power of Theatrical Madness[1].

À la suite de cette expérience, il se retire quelque temps à Madrid, où il fonde sa propre compagnie Ultima Vez, itinérante mais basée à Bruxelles, avec des danseurs inexpérimentés. Ensemble, ils créent le premier spectacle What the Body Does Not Remember, d'une énergie brutale et instinctive, qui restera la marque de fabrique de son langage chorégraphique : « une danse viscérale, hantée par la chute et le jaillissement, un univers mental sous pression de l'irrationnel »[1].

En 1989, Wim Vandekeybus est en résidence au Centre national de danse contemporaine d'Angers, où il crée Les Porteuses de mauvaises nouvelles. Suivront différents spectacles, notamment avec des danseurs aveugles. De 1993 à 1999, il est en résidence au Théâtre Royal Flamand puis, de 2000 à 2002, il est accueilli en tant que compagnie invitée du Théâtre de la commune de Ferrare. Wim Vandekeybus acquiert vers le milieu des années 1990 une reconnaissance mondiale alors que sa compagnie se produit sur les scènes les plus importantes.

Wim Vandekeybus a collaboré tout au long de sa carrière avec divers artistes, tels que les musiciens Thierry De Mey, Marc Ribot, David Eugene Edwards[2], David Byrne, Mauro Pawlowski, ou les plasticiens Jan Fabre, Octavio Iturbe qui signeront de nombreuses musiques ou décors de ses spectacles. Il a collaboré également avec le danseur et chorégraphe Sidi Larbi Cherkaoui.

Il réalise également des films issus de ses spectacles dont en particulier In the Spite of Wishing and Wanting (2002) et surtout Blush (2005) qui reçu deux prix et fut sélectionné dans de nombreux festivals (dont la selection ACID du Festival de Cannes en 2005). En 2008, il réalise le clip de The Dø, At Last. Il pratique aussi la photographie.



thanks... http://www.myspace.com/brandtkalk/blog

jeudi 16 décembre 2010

Le sacre du printemps (Igor Stravinsky)



>> ZINGARO/BARTABAS: http://www.bartabas.fr/Academie-du-spectacle-equestre



Le Sacre Du Printemps by Pina Bausch, Wuppertal Dance Theater



Le Sacre du printemps (en russe, Весна священная), sous-titré Tableaux de la Russie païenne en deux parties, est un ballet composé par Igor Stravinski et chorégraphié originellement par Vaslav Nijinski pour les Ballets russes de Serge de Diaghilev.
Sa création au théâtre des Champs-Élysées à Paris, le 29 mai 1913 a provoqué un véritable scandale. Dans le Sacre, Stravinski approfondit les éléments déjà expérimentés avec ses deux premiers ballets, L'Oiseau de feu et Petrouchka, soit le rythme et l'harmonie. L'un est constitué d'un dynamisme sans précédent, alors que l'autre repose en partie sur l'utilisation d'agrégats sonores. On considère aujourd'hui la partition de Stravinski comme une des œuvres les plus importantes du XXe siècle qui a inspiré de nombreux chorégraphes tels que Maurice Béjart, Pina Bausch, Angelin Preljocaj, Martha Graham, Uwe Scholz ou Emanuel Gat, qui en donneront leurs propres versions.

L'idée du Sacre du printemps vint à Stravinski en 1910, alors qu'il travaillait encore sur L'Oiseau de feu. « J'entrevis dans mon imagination le spectacle d'un grand rite sacral païen : les vieux sages, assis en cercle, et observant la danse à la mort d'une jeune fille, qu'ils sacrifient pour leur rendre propice le dieu du printemps[1] », écrit le compositeur dans ses Chroniques.

L'œuvre a été créée par les Ballets russes de Diaghilev le 29 mai 1913 au Théâtre des Champs-Élysées à Paris, avec Pierre Monteux à la direction de l'orchestre. La chorégraphie de Vaslav Nijinski, tout comme la musique d'Igor Stravinski, plaçant le rythme comme élément principal de l'œuvre, provoquèrent un chahut qui est resté célèbre. Toutefois, la veille, la générale s'était déroulée dans le calme, en présence de Claude Debussy, de Maurice Ravel et de nombreux autres intellectuels, ainsi que de la presse parisienne. Le compositeur décrit ainsi la représentation dans ses Chroniques de ma vie : « [J'ai] quitté la salle dès les premières mesures du prélude, qui tout de suite soulevèrent des rires et des moqueries. J'en fus révolté. Ces manifestations, d'abord isolées, devinrent bientôt générales et, provoquant d'autre part des contre-manifestations, se transformèrent très vite en un vacarme épouvantable[3]. » À ce moment, Nijinski, qui était en coulisses, debout sur une chaise, criait les indications aux danseurs qui n'entendaient plus l'orchestre. De son côté, Diaghilev ordonnait aux électriciens d'allumer et d'éteindre les lumières en alternance pour tenter de calmer l'assistance.

Le compositeur est par ailleurs resté très critique vis à vis du danseur et chorégraphe, tel qu'il l'écrit dans ses Chroniques en 1935 : « L'impression générale que j'ai eue alors et que je garde jusqu'à présent de cette chorégraphie, c'est l'inconscience avec laquelle elle a été faite par Nijinski. On y voyait nettement son incapacité de s'assimiler et de s'approprier les idées révolutionnaires qui constituaient le credo de Diaghilev, et qui lui étaient obstinément et laborieusement inculquées par celui-ci. On discernait dans cette chorégraphie plutôt un très pénible effort sans aboutissement qu'une réalisation plastique, simple et naturelle, découlant des commandements de la musique[4]. » Cependant, sur le vif, Stravinski avait approuvé la chorégraphie de Nijinski, écrivant au compositeur Maximilien Steinberg le 3 juillet 1913 : « La chorégraphie de Nijinski était incomparable ; à l'exception de quelques endroits, tout était comme je le voulais[5]. »


* Premier tableau : L'adoration de la terre

1. Introduction (Lento - Più mosso - Tempo I)
2. Augures printaniers — Danses des adolescentes (Tempo giusto)
3. Jeu du rapt (presto)
4. Rondes printanières (Tranquillo - Sostenuto e pesante - Vivo - Tempo I)
5. Jeu des cités rivales (Molto Allegro)
6. Cortège du Sage (Molto Allegro)
7. L'Adoration de la Terre (Le Sage) (Lento)
8. Danse de la terre (prestissimo)

* Second tableau : Le sacrifice

1. Introduction (Largo)
2. Cercles mystérieux des adolescentes (Andante con moto - Più mosso - Tempo I)
3. Glorification de l'élue (Vivo)
4. Évocation des ancêtres (Lento)
5. Action rituelle des ancêtres (Lento)
6. Danse sacrale (Allegro Moderato, croche=126)

mercredi 22 septembre 2010

Loïe Fuller





Mary Louise Fuller, dite Loïe Fuller, est une danseuse américaine, célèbre pour les voiles qu'elle faisait tournoyer dans ses chorégraphies.

Née dans un village de l’Illinois en 1862, Mary Louise Fuller, dite Loïe, débute dans le théâtre amateur à l’âge de quatre ans ; à seize ans, elle anime une troupe ambulante avant d’intégrer une troupe à New York. En 1889, Loïe Fuller émigre à Londres ; en 1892 elle débute à Paris, où elle s’installe avec sa mère Dalilah. Une dame mystérieuse (« the Great Lady ») initie Loïe à la vie culturelle et mondaine de Paris. Dans la cathédrale de Notre-Dame, Loïe voit confirmée la conception esthétique à la base de ses spectacles : une unité harmonique de couleur, lumière, mouvement et spiritualité. Ses chorégraphies mettent le progrès technologique au service d’une danse qui exalte la nature à travers des lignes courbes et des mouvements évoquant fleurs, papillons, serpents : enveloppé dans de longs voiles agités à l’aide de baguettes, et dans la lumière aux teintes changeantes, le corps de Loïe rappelle aux spectateurs que l’homme fait partie de la nature. L’originalité de ses danses est l’un des principaux attraits du cabaret des Folies Bergère, lieu par excellence de la vie parisienne à la Belle Époque, où Loïe Fuller débute et se produit pendant dix ans.

En transcendant le corps pour atteindre une dimension spirituelle où le quotidien est transfiguré par la beauté de l’art, Loïe Fuller devient la muse de l’Art Nouveau et des Symbolistes, tandis que sa contribution à l’innovation technique de l’éclairage et des dispositifs scéniques fascine les metteurs en scène, les photographes, les cinéastes et les scientifiques : parmi ses admirateurs figurent Mallarmé, Rodin, Toulouse-Lautrec, Carabin (voir Représentations de la danseuse à la barre à la fin du XIXe siècle), Ellis, Taber, les frères Lumière, Marie et Pierre Curie, l’architecte Guimard et l’astronome Flammarion. Loïe influence aussi les arts décoratifs et la photographie : une riche production de statuettes s’inspire de ses voiles dansants, et les photographes essayent de saisir la magie de son art.

Loïe Fuller expérimente inlassablement les possibilités des effets de lumière et de couleur sur des tissus à la matière et à la consistance différentes : ce travail lui vaut de nombreux brevets, mais sa santé en pâtit, à cause des longues répétitions sous des lumières violentes qui abîment ses yeux.

Lors de l’Exposition universelle de Paris, en 1900, Loïe fonde son propre théâtre-musée et présente la troupe japonaise de Sada Yacco. En 1901, elle créé sa première compagnie de jeunes danseuses, qui accueille en 1902 Isadora Duncan (voir Isadora Duncan entre hellénisme et modernité ). À une époque où les droits des femmes et des homosexuels ne sont pas encore reconnus, Loïe Fuller affiche fièrement ses idées féministes, ainsi que son homosexualité. Entièrement vouée à l’art, elle dépense tout pour poursuivre ses recherches jusqu’à la fin de sa vie ; elle meurt de pneumonie en 1928, assistée par Gab Sorère, sa fidèle compagne et collaboratrice depuis 1897.


source: http://www.histoire-image.org/site/etude_comp/etude_comp_detail.php?i=1071

samedi 4 septembre 2010

Sankai Juku (BUTOH) was in Brussels - 02.09.2010







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and some others...

http://www.youtube.com/watch?v=ZxT-v9cxf7g
http://www.youtube.com/watch?v=z5phfF4qUlU

dimanche 25 octobre 2009

Kasuo Ohno .... butoh










"... cette mort ligotée où l'âme se secoue en vue de regagner un état enfin complet et perméable... "

(Artaud, in L'art et la mort)





Butoh makes its appearance in the West with the groups Dai Rakuda Kan, Tensi Kan, Shankai Juku, and Ariadone in the 1980s at the theater festival in Nancy. Also there are Kazuo Ohno and Tatsumi Hijikata, universally regarded as the founders of Butoh dance. Kazuo Ohno, unlike the others, always appears in women..s clothing, wearing flowers, hats and garish makeup. His self-presentation is poetic without excess, perhaps dictated by his conversion to Christianity. Every company works in a different way, but the premises are fundamentally the same: to seek, express, and investigate the relationship between body and expression; to reject conventional techniques; to discover how interiority can speak through the body, and express itself only by and with the body -- these are the premises of a dance born in the 1950s.

The Ankoku Butoh, the dance of darkness, is a veritable manifesto against the horrors marked on the body by the atomic bomb, against the American oppression that threatened the authenticity of Japanese culture, and not by accident was it born in Japan, in the work of those who felt how the body can externalize better than words all that it has suffered. It is also the search for the origin of the universe, of man, of life and of that tenuous link between life and death. A dance performed with gestures at times imperceptible, minimal, suppressed, suspended in air, hands and fingers contracted, turned upwards as if elevated toward that spirit to which the whole body turns and gives itself. Bodies that are lithe, delicate, slightly curvaceous, covered in a blinding white, shaven heads in which sexual identity no longer exists, is no longer recognizable, supple legs, fetal and sorrowful bodies that lead us into the world of darkness, the world of our soul forever suspended between life and death.




See more about butoh HERE and THERE
many many many thanks to Brandtkalk !






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vendredi 31 juillet 2009

ILKA SCHÖNBEIN...






Ilka Schönbein est une marionnettiste, comédienne et danseuse allemande. Elle est la fondatrice du Theater Meschugge. Elle s’est formée à la danse eurythmique de Rudolph Steiner qui prône l’alliance de l’âme et du geste plutôt que l’effort et la technique. Puis elle a étudié avec le marionnettiste Albrecht Roser à Stuttgart. Elle a ensuite tourné une dizaine d’années avec d’autres compagnies avant de se lancer sur les routes avec ses propres spectacles.