Les tribulations chaotiques d'une étoile filante: (AFRO) FEMINISME - ART(S) - PÉDAGOGIE - HEALTH 4 ALL - SCIENCES - EROTISME - POLITIQUE
Affichage des articles dont le libellé est drawings. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est drawings. Afficher tous les articles
lundi 15 juillet 2013
mercredi 3 août 2011
Franz von Bayros
Franz von Bayros, né le 28 mai 1866 à Zagreb (Autriche-Hongrie, actuellement en Croatie) et décédé le 3 avril 1924 à Vienne est un dessinateur, illustrateur et peintre autrichien aussi connu sous le nom de Marquis de Bayros.
Il est connu pour son portfolio controversé Erzählungen am Toilettentische ("Tales from the Dressing Table").
On le compare fréquemment à deux autres artistes auteurs d'œuvres érotiques, Aubrey Beardsley et Félicien Rops.
À partir de 1890, il travaille avec le portraitiste Eugen Felix (1836-1906), puis avec le peintre de paysages Gottfried Seelos (1829-1900). Bayros fait alors partie de l'entourage de Johann Strauss, dont il épouse la belle-fille Alice en 1896.
Ses sujets de prédilections sont la masturbation féminine, le lesbianisme, mais aussi la zoophilie, la pédophilie ou le fétichisme.





Il est connu pour son portfolio controversé Erzählungen am Toilettentische ("Tales from the Dressing Table").
On le compare fréquemment à deux autres artistes auteurs d'œuvres érotiques, Aubrey Beardsley et Félicien Rops.
À partir de 1890, il travaille avec le portraitiste Eugen Felix (1836-1906), puis avec le peintre de paysages Gottfried Seelos (1829-1900). Bayros fait alors partie de l'entourage de Johann Strauss, dont il épouse la belle-fille Alice en 1896.
Ses sujets de prédilections sont la masturbation féminine, le lesbianisme, mais aussi la zoophilie, la pédophilie ou le fétichisme.






dimanche 24 juillet 2011
Isidor Isou (Lettrisme et érotisme)

Fondé en 1945 par Isidore Isou, le lettrisme s'est imposé dans un moment de l'histoire universelle comme le seul mouvement révolutionnaire après le dadaïsme et le surréalisme. Ami de Tristan Tzara, père spirituel de Guy Debord, Isidore Isou proclame la destruction de la poésie à mot au profit d'une esthétique basée sur la lettre et le signe.
Au-delà de la poésie, le lettrisme développe une œuvre protéiforme et souvent méconnue, visant, grâce au concept de création généralisée, à transformer l'ensemble des branches du savoir : de la théorie de l'art au bouleversement de la société et de la vie.
La poésie lettriste:
« Il importait pour cela de les (les mots) soustraire à leur usage de plus en plus strictement utilitaire, ce qui était le moyen de les émanciper et de leur rendre tout leur pouvoir. Ce besoin de réagir de façon draconienne contre la dépréciation du langage, qui s'est affirmé ici avec Lautréamont, Rimbaud, Mallarmé – en même temps qu'en Angleterre avec Lewis Carroll -, n'a pas laissé de se manifester impérieusement depuis lors. On en a pour preuves les tentatives d'intérêt très inégal, qui correspondent aux "mots en liberté" du futurisme, à la très relative spontanéité "Dada", en passant par l'exubérance d'une activité de "jeux de mots" se reliant tant bien que mal à la "cabale phonétique" ou "langage des oiseaux" (Jean-Pierre Brisset, Raymond Roussel, Marcel Duchamp, Robert Desnos) et par le déchaînement d'une "révolution du mot" (James Joyce, E.E. Cummings, Henri Michaux) qui ne pouvait faire qu'aboutir au "lettrisme".»
André Breton, "Du surréalisme en ses œuvres vives", 1953
Dès 1945, date de son arrivée de Roumanie à Paris à tout juste 20 ans et jusqu’à aujourd’hui, il opère d’une manière systématique le dépassement de nombreuses disciplines rarement convoquées par un seul et même créateur… La poésie, la musique, les arts plastiques, le cinéma, le théâtre, la danse, les sciences, la philosophie, la médecine, etc. sont bouleversés par des concepts nouveaux baptisés lettrisme, hypergraphie, soulèvement de la jeunesse, art infinitesimal ou esthapéïrisme, cadre supertemporel, psychokladologie… tous précisés par sa propre méthode de création consciente, la Créatique…
La complexité du Lettrisme, ses prétentions utopistes et réellement subversives, les incessantes polémiques ainsi que ses nombreux adeptes (dont Guy Debord reste paradoxalement le plus connu), ont certainement occulté l’oeuvre personnelle d’Isou...
L'érotisme comme champ d'expériences et de connaissance a été très tôt abordé par le lettrisme : depuis le scandale de la "Mécanique des femmes" en 1949 jusqu'aux sérigraphies réalisées sous l'égide de Fransesco Conz en 1988 à partir des planches du cultissime "Initiation à la haute volupté" (1960), sans compter les ouvrages nombreux d'Isou publiés sous pseudonyme ou non relevant d'une littérature "sexy" et dont la plupart livre toujours leur lot de pépites et de trouvailles, malgré les règles d'un genre hautement stéréotypé, ou encore le très didactique "Je vous apprendrai l'Amour" (1959)... l'énigme de la chair n'a cessé de se voir interrogée dans une quête incessante de multiplication d'un principe de plaisir enfin libéré de l'ascétisme et de la culpabilité judéo-chrétienne autant que de la métaphysique romantique (manifeste chez les surréalistes par exemple).
Chez Lemaître le Nu comme catégorie héritée du champ artistique et exercice de style occupe une place de choix (c'est le moins que l'on puisse dire !), sans pour autant négliger la part libidinale aventureuse qui en est le pendant théorique, érotologique. Car l'érotisme dans le lettrisme est une thématique artistique autant qu'un discours sur l'amour, voire une science de l'amour qui cherche à procurer sur le plan de la sexualité individuelle ce que l'économie nucléaire entend créer à l'échelle collective : la prodigalité. Qu'il s'agisse d'Au delà du déclic (film hypergrahique,1965), de sa peinture et surtout de sa production photographique, en intégrant l'élément figuratif (le nu dessiné ou photographié) comme un signe particulier dans une grammaire personnelle, il donne à un genre académique à souhait une dimension nouvelle, hypergraphique, où le corps référentiel se voit disputer l'espace où il trône souverainement par les signes dont il est désormais le support électif, quitte à s'y dissoudre totalement (je pense particulièrement, et sans rapport avec le Nu (!) à un portrait hypergraphique de Michel Tapié de 1964). Comme le Portrait, le Nu est a priori un exercice qui autorise tous les styles. Force est pourtant de constater qu'en ce domaine comme en tant d'autres on peine à s'émanciper de la pesanteur du réel comme justification ultime du geste : qu'il s'agisse de néoréalisme, de réalisme, de surréalisme ou d'hyper-réalisme comme l'image pornographique contemporaine (chic ou choc), le réel est cet horizon qu'il ne faut jamais dépasser. Les nombreuses photographies de Lemaître (qui ont déjà fait l'objet de plusieurs expositions) comme celles d'Alain Satié (notamment celles qui constituent le superbe recueil Tatouages, 1969), les récits hypergraphiques de François Poyet Poïesis et Champs Panhellesiques (1970) parmi d'autres nous rappellent aussi qu'il y a traitement hypergraphique de la thématique érotique en général et du nu féminin en particulier. A ceux et celles qui pensent que 1929 de Perêt, Eluard et Man Ray représentent un moment inspiré de l'érotisme artistique (certes, certes) et poétique (plus discutable !), je les engage à consulter d'urgence ce livre/objet incu(l)nable et remarquable Cul en tête ou au service de l'hypergraphie de Roland Sabatier et Alain Satié (1969) .
Source: Les cahiers de l'Externité







mercredi 1 décembre 2010
mardi 3 novembre 2009
Répétitions (Eluard/Ernst)...
Dans un coin l'inceste agile
Tourne autour de la virginité d'une petite robe.
Dans un coin le ciel délivré
Aux épines de l'orage laisse des boules blanches.
Dans un coin plus clair de tous les yeux
On attend les poissons d'angoisse
Dans un coin la voiture de verdure de l'été
Immobile glorieuse et pour toujours.
À la lueur de la jeunesse
Des lampes allumées très tard
La première montre ses seins que tuent des insectes rouges.
(Répétitions, 1921)
.....
L'art d'aimer, l'art libéral, l'art de bien mourir, l'art de penser, l'art incohérent, l'art de fumer, l'art de jouir, l'art du moyen âge, l'art décoratif, l'art de raisonner, l'art de bien raisonner, l'art poétique, l'art ménique, l'art érotique, l'art d'être grand-père, l'art de la danse, l'art de voir, l'art d'agrément, l'art de caresser, l'art japonais, l'art de jouer' l'art de manger, l'art de torturer.
dimanche 1 novembre 2009
calaveras: mexican prints for the day of the Dead
José Guadalupe Posada (1853-1913) was especially known for his satires of the regime of dictator Porfirio Díaz, but he also created the famous "calaveras", the skeletons. Drawing on the Mexican cultural myth of the celebration of death, he depicted several stereotypes as skeletons, giving his work a sarcastic, joking touch.
~~
many thanks to Wladd Muta
many thanks to Zaz Zetoun Mind !!!!!!
*
mardi 6 octobre 2009
André MASSON...
Le Labyrinthe, 1938
André MASSON met en scène ici un monstre, le Minotaure, mélange d’animal et d’humain, une image qui nourrit des croyances très, très anciennes. André MASSON se réfère au mythe de l’antiquité grecque qui se représentait ce mi-homme mi-taureau comme le résultat de la vengeance de Poséidon, dieu de la mer, qui aurait accouplé son taureau blanc avec Pasiphaé, reine légendaire de Cnossos. Pour se protéger du monstre, les grecs l’auraient enfermé dans un labyrinthe construit par Dédale, avant que Thésée ne réussisse à le tuer.
Ce qui est particulier à l’idée d’André Masson c’est que ce monstre pourrait être n’importe lequel d’entre nous. Les circonstances de la vie peuvent nous rendre monstrueux. Le peintre révèle l’intérieur de l’homme (c’est en cela qu’il est surréaliste) : un chaos de toutes sortes d’éléments. Il a même figuré un labyrinthe où l’on peut s’enfermer au risque de se perdre à l’intérieur de soi-même.
(D. MARY)
vendredi 25 septembre 2009
mardi 8 septembre 2009
lundi 7 septembre 2009
A dream.... (Grandville)
Jean Ignace Isidore Gérard (13 septembre, 1803 - 17 mars, 1847), est un caricaturiste français, plus connu sous le pseudonyme de JJ Grandville.
Ses planches satiriques sont des charges contre les contemporains ou des attaques contre la monarchie de Juillet. Ses dessins déplaisaient à Adolphe Thiers, qui fit promulguer, en 1835, sous le règne de Louis-Philippe une loi exigeant une autorisation préalable pour la publication de dessins et de caricatures. Après ce rétablissement de la censure, Grandville s’est tourné presque exclusivement vers l'illustration de livres, en illustrant divers ouvrages, tels que les œuvres d’Honoré de Balzac, les chansons de Béranger, les fables de La Fontaine (1838) et celles de Florian, Don Quichotte de Cervantes, les Voyages de Gulliver de Swift, Robinson Crusoé de Daniel Defoe. Il a également continué à publier des recueils de lithographies : Les Cent Proverbes, Un Autre Monde (1844) , Les Fleurs animées. Il a également participé aux illustrations des Scènes de la vie privée et publique des animaux, une satire initiée par Jules Hetzel en référence à La Comédie humaine, et à le Diable à Paris.
Son œuvre s'apparente à un monde étrange que Baudelaire comparera à « un appartement où le désordre serait systématiquement organisé ».
Ses dessins fantastiques et zoomorphes (métamorphoses d’êtres humains, d’animaux et de plantes) (Un autre monde) lui valurent d’être revendiqué par les surréalistes.
Bien que les dessins de Grandville soient parfois de facture artificielle et absurde, ils présentent habituellement une analyse des personnages pleine d’inventivité et de merveilleux, et son humour est toujours tempéré par la délicatesse et le raffinement des sentiments et un esprit de réflexion empreint de sobriété.
>> http://www.flickr.com/photos/bjacques/sets/72157622452294268/
>> http://andysaurus.com/miscellany/grandville.html
mardi 25 août 2009
vendredi 31 juillet 2009
jeudi 30 juillet 2009
Inscription à :
Articles (Atom)